Recherche par auteur : Lardreau, Fabrice
3 résultats.
Lu par : Marc Levy
Durée : 7h. 25min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 78209
Résumé:Recueil de 32 portraits dans lesquels les personnalités (écrivains, acteurs, cinéastes, sportifs, etc.) partagent toute une même passion pour la montagne et la nature. Boris Cyrulnik, Gautier Capuçon, Cécile Coulon ou encore Michel Butor racontent leur relation aux reliefs : émerveillement, éveil sensuel, alpinisme, combat écologique, dépassement de soi, entre autres.
Lu par : Monique Evenot
Durée : 3h. 29min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 72338
Résumé:L'écrivain évoque son amour et sa fascination pour les montagnes du monde depuis sa découverte des sommets à l'âge de 6 ans. Il retrace ses différentes ascensions en Suisse, en Italie, en Russie, entre autres et exprime son admiration pour les grandes figures de l'alpinisme dont Gaston Rebuffat et Lionel Terray.
Lu par : Carole Lenevette
Durée : 5h. 17min.
Genre littéraire : Science-fiction
Numéro du livre : 70072
Résumé:Dans une ville appelée Lutetia, Christian Maupertuis dirige une multinationale tentaculaire chargée de la construction d’un Grand Métro. En homme avisé, il n’hésite pas à s’allouer les services d’un tueur à gages pour supprimer tout obstacle à l’expansion de son empire, du militant écologiste au défenseur des droits de l’homme. Solitaire et désabusé, Patrick Amiot exécute cette mission sans états d’âme et en toute impunité. Jusqu’au jour où les renards envahissent la ville, ensauvagent les habitants et paralysent le chantier. Objet de tous les fantasmes, cristallisant les peurs et les passions, la bête rousse provoque une guerre urbaine sans merci. Lutetia devient un terrain de chasse,le théâtre d’un affrontement social où l’homme et l’animal se confondent. L’avidité et la course au profit ne sont-elles pas en train de faire de nous des individus sans conscience ni morale ? Avec cette fable urbanistique féroce, Fabrice Lardreau interroge notre part animale et rappelle que les prédateurs les plus dangereux ne sont pas ceux que l’on croit.